J’ai repensé à une phrase de Walt Disney, citée par Odile il y a quelques mois, au moment où mon avenir professionnel était encore brumeux :
« La différence entre un rêve et un projet, c’est une date ».
Cela faisait quelques mois que je pensais à « faire quelque chose » de cette histoire d’Essomericq, et pourquoi pas, aller au Brésil.
Depuis que j’ai réservé mon billet d’avion pour le Brésil – le 25 août, si si je m’y suis prise à l’avance -, tout s’enchaîne vite et bien.
Je décolle le 18 septembre pour São Paulo. Puis direction l’Etat de Santa Catarina dans le Sud : Joinville, São Francisco do Sul, où vivait Essomericq, et enfin Florianópolis, avant de rentrer via São Paulo le 4 octobre.
Dans toutes ces villes, des gens m’attendent ! Des amis d’amis, des amis de la famille, ou simplement des personnes qui sont sensibles à l’histoire de Gonneville et Essomericq et qui sont prêtes à m’ouvrir leurs maisons, leurs archives, à me faire rencontrer des spécialistes du sujet, des ethnologues, des Indiens …
Je suis presque prête. J’ai même ouvert un compte Facebook !
Seul petit souci, je suis toujours aussi nulle en portugais.
Tchau !